Histoire de l’Abbaye
1138 La naissance
Au cœur d’un écrin de verdure en bord de Teyssonne, l’abbaye cistercienne Notre-Dame de la Bénédiction de Dieu est fondée le 29 septembre 1138 par Albéric, disciple de Saint Bernard, entouré de douze moines. Les premières constructions sont en bois.
1138 La naissance
Au cœur d’un écrin de verdure en bord de Teyssonne, l’abbaye cistercienne Notre-Dame de la Bénédiction de Dieu est fondée le 29 septembre 1138 par Albéric, disciple de Saint Bernard, entouré de douze moines. Les premières constructions sont en bois.
Au cœur d’un écrin de verdure en bord de Teyssonne, l’abbaye cistercienne Notre-Dame de la Bénédiction de Dieu est fondée le 29 septembre 1138 par Albéric, disciple de Saint Bernard, entouré de douze moines. Les premières constructions sont en bois.
1138
La naissance
XIIIème
La construction
Grâce à de nombreux donateurs, l’abbaye, 30ème fille de Clairvaux, prospère. D’importants bâtiments sont érigés, témoignant de la présence de nombreux moines. Ce monastère de Cîteaux est placé sous la protection de la Vierge Marie.
XIIIème La construction
Grâce à de nombreux donateurs, l’abbaye, 30ème fille de Clairvaux, prospère. D’importants bâtiments sont érigés, témoignant de la présence de nombreux moines. Ce monastère de Cîteaux est placé sous la protection de la Vierge Marie.
XIIIème La construction
Grâce à de nombreux donateurs, l’abbaye, 30ème fille de Clairvaux, prospère. D’importants bâtiments sont érigés, témoignant de la présence de nombreux moines. Ce monastère de Cîteaux est placé sous la protection de la Vierge Marie.
XVème Déclin et renouveau
Après un lent déclin au XIVème, un noble bourguignon, Pierre de la Fin est élu abbé du monastère et entreprend la rénovation de l’église. Malheureusement les abbés commendataires qui lui succèdent laissent péricliter l’Abbaye.
XVème Déclin et renouveau
Après un lent déclin au XIVème, un noble bourguignon, Pierre de la Fin est élu abbé du monastère et entreprend la rénovation de l’église. Malheureusement les abbés commendataires qui lui succèdent laissent péricliter l’Abbaye.
Après un lent déclin au XIVème, un noble bourguignon, Pierre de la Fin est élu abbé du monastère et entreprend la rénovation de l’église. Malheureusement les abbés commendataires qui lui succèdent laissent péricliter l’Abbaye.
XVème
Déclin et
renouveau
XVIIème
L’arrivée
des moniales
Au début du XVIIe siècle, le monastère est en ruines. En 1612, les religieuses Bernardines de Mégemont en Auvergne succèdent aux moines. Françoise de Nérestang, première abbesse, entame la restauration des bâtiments, en particulier celle de l’église.
XVIIème L’arrivée des moniales
Au début du XVIIe siècle, le monastère est en ruines. En 1612, les religieuses Bernardines de Mégemont en Auvergne succèdent aux moines. Françoise de Nérestang, première abbesse, entame la restauration des bâtiments, en particulier celle de l’église.
XVIIème L’arrivée des moniales
Au début du XVIIe siècle, le monastère est en ruines. En 1612, les religieuses Bernardines de Mégemont en Auvergne succèdent aux moines. Françoise de Nérestang, première abbesse, entame la restauration des bâtiments, en particulier celle de l’église.
Fin XVIIIème La révolution
En 1791, après la Révolution française, les religieuses sont contraintes de quitter l’abbaye, qui est mise en vente. Les bâtiments deviennent une carrière de pierre utilisée pour la construction des maisons du village. Seule l’église abbatiale subsiste.
Fin XVIIIème La révolution
En 1791, après la Révolution française, les religieuses sont contraintes de quitter l’abbaye, qui est mise en vente. Les bâtiments deviennent une carrière de pierre utilisée pour la construction des maisons du village. Seule l’église abbatiale subsiste.
En 1791, après la Révolution française, les religieuses sont contraintes de quitter l’abbaye, qui est mise en vente. Les bâtiments deviennent une carrière de pierre utilisée pour la construction des maisons du village. Seule l’église abbatiale subsiste.
Fin XVIIIème
La révolution
Du XIXème à nos jours
En 1817, des habitants du village rachètent l’église, qui redevient une paroisse du diocèse de Lyon en 1826. Aujourd’hui, elle est rattachée à la paroisse du Nord Roannais. Chaque année, des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle se rendent à La Bénisson-Dieu.
Du XIXème à nos jours
En 1817, des habitants du village rachètent l’église, qui redevient une paroisse du diocèse de Lyon en 1826. Aujourd’hui, elle est rattachée à la paroisse du Nord Roannais. Chaque année, des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle se rendent à La Bénisson-Dieu.
Du XIXème
à nos jours
En 1817, des habitants du village rachètent l’église, qui redevient une paroisse du diocèse de Lyon en 1826. Aujourd’hui, elle est rattachée à la paroisse du Nord Roannais. Chaque année, des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle se rendent à La Bénisson-Dieu.
L’architecture
L’abbatiale a du être construite fin du XIIème siècle, elle marque la transition entre l’art roman et l’art gothique. La façade et les collatéraux avec ses voutes d’arêtes sont de pur style roman. La nef centrale annonce l’arrivée du gothique par ses croisées d’ogives. Son architecture, pure et dépouillée est typiquement cistercienne, Saint Bernard défendant toute ornementation superflue qui peut troubler la prière des moines.
Lors de la rénovation à la fin du XVème par Pierre de la Fin, l’abbé modifie le collatéral sud avec des voutes à croisées d’ogives et crée le clocher, tour carrée de 33m surmontée d’une flèche de 18m. Le toit rehaussé est recouvert de tuiles polychromes vernissées.
Au XVII, Françoise de Nerestang modifie le chœur et aménage la chapelle baroque dédiée à la Vierge Marie dans le collatéral sud.
Les richesses artistiques de l’Abbaye
Histoire
de L’Eglise Abbatiale de La Bénisson-Dieu
Naissance
Dans un écrin de verdure, au bord de la Teyssonne, le monastère de la Bénédiction de Dieu est fondé le 29 septembre 1138 par Albéric, compagnon de Saint Bernard accompagné de douze moines. Ils défrichèrent les lieux et établirent des bâtiments de bois. Cette abbaye cistercienne est le 30ème fille de Clairvaux. Rapidement de nombreux dons affluent, au XIII l’Abbaye de la Bénédiction de Dieu prospère, les bâtiments se construisent. Toutes les archives ont disparu, les moines devaient être très nombreux.
Le monastère comme tous les monastères de Citeaux fut placé sous la protection de la Vierge Marie.
De déclins en renouveau
Après un lent déclin du XIV, un noble bourguignon, Pierre de la Fin est élu abbé du monastère et entreprend la rénovation de l’église. Malheureusement les abbés commendataires qui lui succèdent laissent péricliter l’abbaye. Au début du XVIIème siècle, le monastère est en ruine. En 1612, les religieuses Bernardines de Mégemont en Auvergne reprennent la suite des moines. Françoise de Nérestang, première abbesse, aidée de la fortune de sa famille entreprend la restauration des bâtiments et notamment de l’église.
En 1791, suite à la révolution, les religieuses doivent quitter l’abbaye qui est mise en vente. Les bâtiments servent de carrière de pierre et sont entièrement démolis. En 1817, des villageois rachètent l’église qui redevient une paroisse du diocèse de Lyon en 1826. Elle est aujourd’hui rattachée à la paroisse du Nord Roannais.